Promotion Colonel Le Cocq

L’insigne se lit chronologiquement:

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Parti au un d’une cape de méhariste et d’un dromadaire de l’insigne de la Compagnie Méhariste Tidikelt Hoggar évoquant la monture des unités à la tête desquelles notre futur parrain a sillonné le Maghreb, il rappelle d’abord la période africaine, la vie du “Grand Méhariste”, de l’aventurier du désert des années 1930 aux années 1940.

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Parti au deux d’une gloire au chef tombant sur l’écu de senestre et d’une demi-croix de Lorraine passant derrière le dromadaire, l’écu fait écho à l’origine saint-cyrienne de l’officier ainsi qu’à son combat héroïque face à l’ennemi japonais sur la terre indochinoise où il trouve la mort en 1945.

L’épée au centre, divisant l’écu en ce diptyque, arbore le grade du colonel Le Cocq ainsi que son nom.

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Cette épée levée au combat tombe au champagne de l’écu dans une croix d’Agadez, bijou berbère représenté sur les insignes d’unités méharistes et symbole de la vie nomade (“les quatre directions du monde, car on ne sait où tu iras mourir.” phrase cérémoniale berbère). Cette croix d’Agadez prolonge la garde et le manche de l’épée ainsi que l’ancre de marine posée à l’extrémité du champagne, symbolisant les troupes de marine, l’arme qu’a servi notre futur parrain en Afrique comme en Indochine.